Chère Raymonde,
Tu ne peux pas savoir comme j’étais content de chercher ta « dernière photo » qui ne soit pas destinée à la rubrique nécro’. Je t’ai trouvée souriante, quasi joviale, lors de la dernière séance du Groupe d’études historiques locales d’Onzain, salle des Granges. C’est vrai que plus souvent en reportage, nous te voyons sérieuse, discrète et appliquée à cadrer et les mots et la photo qui rendraient compte de ta mission de correspondante de presse. Ce quotidien pour lequel tu as si durablement assuré ta tâche locale, t’a rendu l’hommage que tu méritais. Permets à tes amis d’ajouter notre clin d’œil sans chercher à dresser la liste de tous les bons contacts que nous avons eus avec toi. Nous pourrons désormais en parler librement sans craindre de retrouver nos déclarations dans le journal ! Confidence pour confidence, ce n’était pas ton genre… Et s’il nous est arrivé de te parler de ta prose, c’est qu’elle en valait la peine ! A bientôt, JMD
Nota bene : comme les rubriques ou les articles via Internet ne sont pas ta tasse de thé, je compte bien sur nos lecteurs locaux du site pour que tu sois informée de ce que nous pensons de toi. C’est bien la moindre des choses pour notre « journaliste préférée ».