Nous avons bataillé ferme pour éviter le pire, mais rien à faire, priorité à l’Administration, même si elle n’est pas sûre des justifications de ses actions. On coupe pour éviter les "chablis" mais rien n’assure que cette coupe ne va pas en provoquer d’autres plus dangereux ! Que coupe-t-on : les arbres les plus en connexion avec le réseau, ceux qui ont vécu avec les futurs poilus pendant les quatre ans de guerre. On ne s’occupe pas de la sauvegarde de la mémoire, on n’a à la bouche que l’"amélioration" (...)